"Je suis Attila, vous n'êtes rien. Je suis là pour vous anéantir, craignez-moi, haïssez-moi, détestez-moi, mais surtout n'attendez rien de moi, aucune pitié, aucun compromis, aucune compassion, aucune diplomatie. Je ne suis heureux que quand il y a la guerre, vous pourchassant, vous traquant, jusqu'à votre destruction. Mon esprit émane de l'enfer, j'ai le coeur plus dur que le fer. Je suis votre terreur mais également votre sauveur, vous verrez qu'à travers ces horribles souffrances vous y trouverez votre bonheur. Des villes en flammes, des hommes qui meurent, le règne de la laideur dans toute sa splendeur, un véritable assoiffé de sang guidé par l'inconscience, éternisant soigneusement mon règne avec méfiance. Je m'infiltre dans votre vie, votre âme, votre esprit, afin d'y mettre le trouble. Car le calme peut mettre fin à ma renaissance. C'est pourquoi je l'écarte avec bon sens. Je suis et resterai l'origine de votre famine, votre misère, c'est ainsi que vos villes se transformeront en véritable désert."
C'est après ce discours devant ses conquis qu'Attila se retira dans sa yourte royale, devant sa carte des empires, l'envie de conquérir lui fit bouillir le sang, et l'envie de détruire lui fit dégainer son couteau, et alors il le planta dans la carte violemment, ses généraux pourront témoigner que la table porte la marque profonde de ce jour ou il décida de conquérir le territoire pointé par sa rage.
Attila est la, le fléau de Dieu. Apres lui, l'herbe ne repousse pas.
Il rapporta alors ses troupes au plus proche de l'ennemi, l'ayant observé depuis la frontière auparavant, il envoya ses troupes juste aux portes de son château, mais la foret lui permis de se tapir sans se faire voir jusqu'au moment de lancer l'assaut des que les portes furent ouvertes assez longtemps.
S'en suivi une bataille sanglante entre les deux parties, mais Attila avait l'avantage ses cavaliers et ses troupes d’élites lui permirent d’asséner des coups violents tout en ne perdant que les troupes les plus faibles au combat. Finalement le combat cessa, lorsque tous les soldats ennemis furent morts, et ceux qui ne l’étaient pas, étaient les mêmes qui faisaient parvenir quelques cris d'agonie pendant qu'on les achevait.
Le butin fut de mise et Attila n'ayant quasiment pas perdu de troupes s'en retrouve grand vainqueur, butin, femmes, et et surtout ce qui lui plaisait le plus, le sang sur sa lame, coulait a flots. Combien de temps avant que le grand seigneur et roi des UNS ne retrouve sa soif de sang ? Peu de temps est la réponse à craindre, et aussi la bonne réponse à cette question !
Jeu 6 Déc - 20:29